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Champagne: Clara Morgane répond avec humour au descendant de la maison Charles de Cazanove


Champagne ! 🍾 Voici « Le Rose » mon nouveau #champagne rosé pour lequel j’ai collaboré avec la célèbre maison #charlesdecazanove ! Une bouche fruitée, généreuse et puissante pour vous accompagner pendant les fêtes. VOUS POUVEZ LE TROUVER WWW.CHAMPAGNEBYCLARAMORGANE.COM 💋

A post shared by Clara Morgane (@claramofficiel) on Dec 20, 2017 at 6:49am PST


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Le mois dernier, Clara Morgane lançait une cuvée de champagne avec la maison de Cazanove. Une collaboration qui a été la cible de critiques de la part d'un des descendants de la marque, le comte Loïc Chiroussot de Bigault de Cazanove. Ce dernier a même assigné en référé la SAS Charles de Cazanove devant le tribunal de grande instance de Lille et exige le retrait du nom « de Cazanove » de la cuvée Clara Morgane.

Aujourd'hui chanteuse et mannequin, Clara Morgane a répondu à ces attaques dans un message partagé sur son compte Twitter, non sans un trait d'humour : « J’imagine que sa petite colère l’a empêché de goûter à notre délicieux nectar, s’est-elle amusée. Je lui propose de lui faire parvenir une bouteille afin qu’il puisse passer un bon moment d’émotion libératrice. » Et d'ajouter : « Aujourd’hui, Charles de Cazanove est une grande maison de champagne à laquelle je me suis associée. Ce monsieur Chiroussot, arrière petit neveu de la famille, aurait dû se poser la question de la volonté de ses ancêtres avant la vente de leur nom et cela, il y a bien longtemps. »

La maison Charles de Cazanove a également répondu à ces critiques. Dans un communiqué, elle s’est dite « surprise de la teneur des propos rapportés par voie de presse et de l'action intentée par Loïc Chiroussot ». Elle réitère également sa « fierté » de travailler avec Clara Morgane, assurant qu'il s'agit d'une « collaboration très appropriée ». L'avenir de celle-ci est maintenant entre les mains de la justice. L'audience est prévue le 9 janvier prochain.


L a cuvée du champagne Charles de Cazanove, en collaboration avec l'ancienne star du X Clara Morgane, a suscité l'ire d'un descendant de la famille qui a saisi la justice.

"Ce n'est pas la marque qui pose problème, c'est que le nom de Cazanove soit associé à une activité pornographique", a déclaré à l'AFP Me Emmanuel Ludot, l'avocat d'un descendant de la famille de Cazanove, "choqué" par cette nouvelle cuvée dévoilée à Paris le 29 novembre.

@ClaraMOfficiel bonsoir champagne reçu plus qu'a le déguster pic.twitter.com/jXd6Ux7z0n — lannoy marc (@sandraudrey) 17 décembre 2017

"Pour mes ancêtres je ne peux pas accepter ça"

"Une bouche fruitée, généreuse et puissante pour vous accompagner pendant les fêtes", avait commentée Clara Morgane sur son compte Instagram, posant avec une bouteille rosée sertie d'un bandeau de dentelle noire. "ça fait un peu sexy sexe... Pour mes ancêtres je ne peux pas accepter ça", a réagi auprès de l'AFP le comte Loïc Chiroussot de Bigault de Cazanove, 67 ans, descendant direct du fondateur de la maison de champagne Charles de Cazanove créée en 1811.

Aux yeux de ce membre "d'une famille illustre" engagée dans la Résistance, issue "de la vieille noblesse française", il ne s'agit pas de "juger" l'ancienne actrice, désormais mannequin, animatrice et chanteuse, mais de "protéger" son nom à travers son "droit patrimonial".

Pour une modification des étiquettes

"Ce qu'on demande c'est que les étiquettes soient modifiées pour que le nom de Cazanove ne soit plus associé à celui de cette personne", a dit Me Ludot, qui a assigné en référé la marque désormais propriété de la SAS Charles de Cazanove, au titre de "la protection du nom" et du "droit au respect de la personne".

De son côté, "la maison Charles de Cazanove assume avec fierté sa collaboration avec Madame Clara Morgane, au service de ce produit emblématique du terroir, de la tradition et de l'excellence française, qu'est le vin de Champagne", a déclaré à l'AFP Me Thierry Pelletier, conseil de la marque rémoise, "surprise" par les propos du comte éponyme. L'audience est fixée au 9 janvier devant le tribunal de grande instance de Lille.

La réponse de Clara Morgane

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fw

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