Manajemen TOUS les JOURS menyebut aturan penulisan ucapan cake yang sempat terpasang di salah satu cabang toko kue TOUS les JOURS dan viral bukan resmi dari manajemen. Lalu, siapa sebenarnya yang memasang kertas berisi peraturan itu? "Perlu kita luruskan di sini, bahwa peraturan yang viral itu yang sedang berkembang, bahwa itu bukanlah kebijakan dari kebijakan manajemen kami, itu bukan sama sekali," kata Marketing Manager TOUS les JOURS, Kathy Syahrizal saat ditemui di Kantor Manajemen TlJ, di Menara Jamsostek, Jalan Gatot Subroto, Jakarta Selatan, Jumat (22/11/2019). "Itu ada tim kita dari Pacific Place, tapi hal itu juga sudah kita luruskan," ucap Kathy saat ditanya kembali soal siapa yang memasang aturan itu.
Dia mengatakan ada masalah miskomunikasi yang menyebabkan munculnya hal ini. Kathy menegaskan manajemen TOUS les JOURS tidak pernah meminta toko untuk memasang aturan soal penulisan ucapan di cake . "Ada miskomunikasi antara pihak store kita dan dari internal manajemen kami. Jadi sebenarnya kita tidak pernah mengeluarkan itu tapi tiba-tiba ya sudah terpasang seperti itu," ujarnya. Klarifikasi TOUS les JOURS soal penulisan ucapan cake . (Facebook TOUS les JOURS) Manajemen TOUS les JOURS memastikan bahwa kertas berisi aturan penulisan cake itu hanya sempat terpasang di cabang Pacific Place dan sudah tak lagi terpampang. Pihak manajemen mengatakan sudah melakukan pendisiplinan, namun tidak merinci apa bentuk pendisiplinan yang dimaksud. "Sudah kami tindak lanjuti, kita juga sudah melakukan pendisplinan," kata Kathy. Sebelumnya diberitakan, dalam foto yang viral, tampak ada kertas berisi aturan bahwa toko tidak boleh menulis ucapan atau sesuatu yang bertentangan dengan syariat Islam, di antaranya ucapan Selamat Natal, Imlek, hingga Valentine dan Halloween. Netizen pun ramai membahas aturan itu. Tonton video Dilarang Tulis Ucapan Natal di Cake, TOUS les JOURS Trending: [Gambas:Video 20detik]
South Korean bakery chain Tous les Jours has found itself in the middle of a religious discrimination scandal in Indonesia related to what one may or may not write on a cake.
Recently, a photo has gone viral on social media showing a sign — which appears to be hastily printed — put up at a Tous les Jours store in South Jakarta.
Nemu di ig stories. Aturan nulis ucapan di kue. Store touslesjours. Menarik. pic.twitter.com/Af5iUjgpxo — Jet Veetlev ig:@jetveetlev (@JetVeetlev) November 21, 2019
The sign conveys to customers that in order to guarantee that its products are halal (permissible for consumption by Muslims), the store will not write messages on cakes related to other religions’ holy days, such as Christmas and Chinese New Year (yep, that’s one too, apparently) or days that don’t adhere to Islamic teachings such as Halloween and Valentine’s Day.
The sign, however, says that the store accepts the printing of congratulatory messages for birthdays and promotions, as well as greetings that do not violate Islamic sharia values, such as “I love you” and “You’re the best.”
The reaction against Tous les Jours online has been brutal, to say the least.
Mau pesen buat Natal ah “Hi Jesus, you’re the best, I love you” gitu boleh ga? — Shasy Pashatama (@Pashatama) November 21, 2019
I want to order a cake for Christmas with the message, “Hi Jesus, you’re the best, I love you.” Is that allowed?
Hmm, menarik. Toko kue dari Korsel, jualan kue ala Eropa, pakai nama toko berbahasa Perancis, jualan di Indonesia, aturan ngikutin syariat Islam 😅 — Netijen (@bukanbanananina) November 22, 2019
Interesting. A South Korean bakery, selling European cakes with a French name, selling in Indonesia in accordance to sharia laws.
In a statement received by Coconuts today, Tous les Jours said that the sign was only put up at that particular store and does not represent the policy of the whole bakery chain.
“It is not the policy of our management. We apologize for the misunderstanding that arose from this incident, and we are looking into the issue,” the statement read.
There is no general rule in Islam that putting non-Islamic writing on a halal product would make it haram (forbidden for consumption by Muslims). However, a few months ago, a clerical body in an Indonesian province issued an unprecedented fatwa (religious edict) declaring that edible products containing names related to hell or the devil are haram.
Coldplay restant le groupe le plus populaire du millénaire – comme l’ont rappelé en Belgique les deux concerts sold-out au stade Roi Baudouin des 21 et 22 juin 2017 –, leur retour aux affaires est toujours un événement. Ce huitième album, intitulé Everyday Life, ce sont seize titres divisés en deux parties intitulées Sunrise et Sunset .
Le chanteur Chris Martin a précisé que l’album reflète sa vision du monde actuel en réaction à la négativité ambiante. Sunrise évoque les épreuves que chacun doit affronter dans sa vie et la seconde, Sunset , parle de la façon de les surmonter et d’aller de l’avant.
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Un lycée qui va bien plus loin que ce que les textes lui imposent. Si depuis le 1er novembre 2019, tous les établissements scolaires doivent proposer, au moins une fois par semaine, un repas végétarien optionnel, au lycée François 1er du Havre (Seine-Maritime), depuis le 12 novembre, le menu végétarien, c’est tous les jours !
Lire aussi : REPORTAGE. Dans ce lycée hôtelier du Havre, tout le monde vise le zéro déchet
Une soixantaine de végétariens au sein du lycée
Une petite révolution ! Sur les 600 repas servis chaque jour au lycée François 1er, 100 sont végétariens. Une démarche initiée début novembre. « Au sein du lycée, nous avons un comité de pilotage développement durable que je préside. Élèves, enseignants et personnels administratifs avaient via ce biais demandé à ce que des menus végétariens quotidiens se mettent en place », explique Sophie Le Bris, gestionnaire comptable.
Selon cette dernière, une soixantaine de personnes étudiant, travaillant et mangeant chaque jour au lycée sont végétariens.
Dans un premier temps, nous avons opté pour 100 repas chaque jour, mais si la demande est là, alors nous allons augmenter, bien entendu, indique la gestionnaire comptable.
VIDÉO. Ce midi, c’est quiche aux légumes pour les végétariens du lycée François 1er :
« S’adapter n’est pas un souci »
Stéphane Malatesta est chef cuisinier au lycée. « J’avoue, lorsque Me Le Bris m’a annoncé qu’il fallait faire des menus végétariens, j’ai fait : ‘Ah ! ‘ Mais ici, on s’adapte … »
Le chef cuisinier ne connaît pas la cuisine végétarienne : « Mais apprendre ne m’a jamais posé de problème. Pour le moment, on fait simple et progressivement, je pense que l’on pourra proposer des plats de plus en plus sympas aux élèves, enseignants et personnels. »
Lire aussi : Gastronomie. Lentilles, épices, graines… au Havre, des dégustations pour découvrir le véganisme
Et le bilan de la première semaine est positif, avec une mention spéciale pour les boulettes végétariennes, « qui sont toutes parties très vite ! »
Les menus doivent évidemment « ne pas dépasser le budget : 2,40 euros par repas, c’est tout à fait réalisable », indique la secrétaire d’intendance Faustine Prevost qui élabore ceux-ci avec le chef. Pour la seconde semaine, ils ont prévu œufs florentine, quiche aux fromages, lasagnes de légumes et pâtes pesto/tomates.
Convaincu et pourtant pas végétarien
Éve, lycéenne en terminale L, passe ce jour-là devant la quiche aux légumes et se sert avec le sourire. Elle fait partie de ceux qui demandaient la mise en place de ces menus.
Très souvent, je me contentais de prendre les accompagnements et évidemment s’il y avait de la sauce qui avait été faite avec de la graisse animale, je ne pouvais pas en manger. Je pense que c’est très bien qu’aujourd’hui, alors que les débats sur la cause animale et l’urgence climatique sont très présents dans notre société, on mette en place ces menus, et pas seulement une seule fois par semaine.
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Abel, lui, n’est pas végétarien : « Je mange de tout, selon mon envie et aujourd’hui le menu végétarien me fait envie… mais je ne suis pas anti-viande. »
« L’idée ce ce menu végétarien quotidien, c’est aussi selon moi une façon de faire découvrir une nouvelle cuisine », explique Sophie Le Bris, qui rappelle que depuis de très nombreuses années, le lycée proposait déjà des repas thématiques, basés sur les spécialités autour du monde.
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Homme mortellement poignardé à Reims: sa concubine en détention provisoire
Une femme de 32 ans a été mise en examen et écrouée ce jeudi soir après le meurtre de son conjoint, tué d’un coup de couteau mercredi. L’enquête a révélé qu’il s’agissait d’une femme battue. La nuit du drame, l’homme l’avait frappé et s’en était pris à son bébé.
U n crime de sang, encore un, a détruit un couple, cette fois-ci à Reims, mais il ne s’agit pas d’un féminicide : tuée à l’arme blanche, la victime est l’homme, non la femme.
Un bris cause l’arrêt des traversées entre Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine depuis 14h30, jeudi.
Une collision entre NM Jos-Deschênes II et le quai de Baie-Sainte-Catherine est survenue. Personne n’a été blessé. Les dommages seraient mineurs.
La Société des traversiers du Québec mentionne que des travaux d’urgence sont nécessaires. Le service est interrompu jusqu’au 22 novembre entre Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine. La STQ prétend que tous les efforts sont mis de l’avant afin de remettre le service en fonction le plus rapidement possible.
Theix-Noyalo. « Tous les jours, les droits des enfants sont bafoués »
À l’occasion des trente ans de la convention internationale des Droits de l’enfant, les services enfance jeunesse se mobilisent et proposent des animations de sensibilisation pour tous.
Pour clore leur mandat d’élus, les enfants du conseil municipal se sont rendus à Paris, et notamment au Sénat. Les jeunes élus défendent eux aussi leurs droits et devoirs. | OUEST-FRANCE
Pour clore leur mandat d’élus, les enfants du conseil municipal se sont rendus à Paris, et notamment au Sénat. Les jeunes élus défendent eux aussi leurs droits et devoirs. | OUEST-FRANCE
Le rendez-vous Theix-Noyalo est reconnu par l’Unicef (Organisation des Nations Unies consacrée à l’amélioration et à la promotion de la condition des enfants) Ville amie des enfants (VAE) depuis janvier 2018. Les services municipaux ont mis en place une semaine « ville amie des enfants », du 18 au 23 novembre. ...
Theix-Noyalo. « Tous les jours, les droits des enfants sont bafoués » Ouest-France.fr AGRANDIR
Des lettres qui forment des phrases choc. La nuit elles collent leurs affiches sur les murs des grandes villes de France, pour dénoncer les violences contre les femmes. Ces jeunes militantes, en majorité étudiantes, veulent faire changer les choses.
Camille est la porte-parole des colleuses : "Le but c'est d'informer sur les féminicides, et on fait ça pour rendre hommage à toutes les victime des féminicides, et pour que toutes les femmes victimes de violence parlent et se sentent soutenues."
Début septembre, le gouvernement français a lancé une consultation de trois mois sur les violences conjugales, pour trouver des solutions.
Au 12 novembre, 131 femmes ont été tuées en France par leur conjoint depuis janvier. Une tous les deux jours.
Dans cet hôpital de Saint Etienne le médecin légiste Michel Debout constate les blessures et parfois le décès des victimes de violences conjugales. Michel Debout, également psychiatre, reçoit aujourd'hui Karine. Elle a subi quatre ans de violence de la part de son mari, ingénieur géo-physicien, avant de porter plainte : c'était fin 2018 quelques mois après la fois de trop.
"A 5 heures du matin il me plonge dessus dans la chambre des enfants, en me tirant par les cheveux, raconte Karine, il me jette sur la table basse, puis sur le canapé en m'étranglant. C'est là que les enfants, surtout l'aîné, criaient "ne tue pas maman , ne tue pas maman""
L'idée du gouvernement français, c'est de généraliser le dépôt de plainte directement à l'hôpital.
Pour le professeur Debout, "C'est une fausse bonne idée. Il y a des lieux spécifiques. On va à la police pour se plaindre, et on va à l'hôpital pour être entendu, pour être compris, pour être accompagné, on va à l'association pour retrouver de la solidarité. Ces trois espaces il faut les respecter"
Autre axe de réflexion, optimiser l'accueil dans les commissariats, souvent critiqué par les victimes. Une amélioration indispensable, pour éviter parfois le pire. 1/3 des femmes tuées en 2018 avaient porté plainte auprès de la police.
La formation des policiers est une priorité :
"Dans l'intégralité des écoles de police en France interviennent des associations d'aides aux victimes, des spécialistes, des médecins légistes, des autorités judiciaires, souligne Marion Tomei, commissaire de police, chef du commissariat du 2e arrondissement de Lyon, pour former tous les policiers à l'écoute à la prise en charge de ces victimes très spécifiques."
Il faut agir souvent très vite pour mettre les femmes à l'abri. Dans chaque commissariat un policier référent violence conjugale travaille étroitement avec un intervenant social.
En 2016, 15% des homicides ont eu lieu dans le couple. 87% des tués étaient des femmes. Et la majorité du temps, parce que leur conjoint refusait une rupture.
Les permanences d'accueil des associations enregistrent une hausse de 20% des plaintes. Preuve que si la violence n'augmente pas, la parole se libère, décomplexée par le mouvement MeToo qui a permis une avancée spectaculaire sur cette question si intime et si privée.
